Le projet ELEMENT, soutenu par l’UE et consacré au développement d’un système de contrôle de l’énergie marémotrice qui réduira le coût de cette énergie, est prêt à déployer une turbine pour des essais en Bretagne, en France, cet automne, après les essais à terre.

Le projet, mené par l’entreprise écossaise Nova Innovation, spécialisée dans la technologie marémotrice, vise à développer un système de contrôle innovant pour les turbines marémotrices afin d’améliorer la viabilité et la productivité de ces dernières.

Dans le cadre du projet, la turbine a été testée à terre et va maintenant être testée dans l’estuaire d’Etel, en Bretagne (France), puis en mer dans le Shetland Tidal Array en Écosse.

Avant les essais dans l’estuaire d’Etel, Innosea, spécialiste de l’ingénierie, du conseil et de la R&D dans le domaine des énergies marines renouvelables, a fourni des services indépendants d’ingénierie de conception pour la fondation gravitaire.

Selon l’entreprise, ce travail a déjà été réalisé et un prototype de turbine de 50 kW sera déployé pour les essais cet automne.

Le travail d’Innosea comprend également une analyse socio-économique du potentiel de l’énergie marémotrice en France.